Protocole Prise en charge Inflammation aigüe et chronique
Réflexions et Idées essentielles
pour transformer un état chronique en état aigu et un état aigu en épisode court sans phénomène de répétition
Résumé
Le dénomminateur commun de toute maladie se cache dans notre corps et non dans la maladie elle-même. Ceci renvoie à la notion du terrain! Et ce terrain souffre d'une inflammation chronique que nous partageons tous sans exception.
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- autour de nous, cette état inflammatoire se manifeste par la disparition de la biodiversité, par des feux de forêts, la pollution, ...
- en nous par la disparition de notre capacité d'absorber les chocs, par un feu permanent (inflammation), par une accumulation de déchets (perturbateurs endocriniens) ...
"Tous", ce sont tous les hommes et tous les animaux, toutes les formes de vie que l'homme a arrachés de leur contexte naturel par une folie qu'il appelle "culture", l'opposant à la "nature" qu'il place à un niveau inférieur.
Nous vivons actuellement la phase finale de ce dérèglement culturel. Bien-sur, il est autour de nous, mais au même titre en nous, car, depuis longtemps, il a pris possession de nos corps.
Concrètement, le protocole que je propose, comporte cinq niveaux d'intervention, car, étant praticien, j'ai appris à mes dépens, que je devais m'adapter au niveau des capacités des patients et non les patients à mon niveau de connaissance.
Pour le premier niveau, le praticien établira une ordonnance, rectifiant le trop-plein et les manques criants dans les corps physique, psychique, relationnel, énergétique, ...
Ici se trouvent les anti-oxydants, les oligo-éléments, les vitamines à haute-dose, les capteurs de perturbateurs endocriniens, la liste des aliments pro-imflammatoires à éviter, les précurseurs de neuro-transmetteurs, les chélateurs de métaux lourds les conseils nutritionnels, ...
Ce niveau ne demande pas de compréhension du patient, mais une participation active pour éviter les aliments pro-inflammatoires et tout simplement la confiance entre lui et son médecin qui, seule, garantira la prise quotidienne des comprimés, car, oui, ce niveau s'accompagne de comprimés!
Le deuxième niveau introduit des substances qui rectifient une mauvaise programmation des différents corps du patient.
L'Aromathérapie, les fleurs de Bach mais surtout l'homéopathie Uniciste avec plus de 4000 remèdes, sont capables d'imposer ce miracle, même après toute une vie dans la maladie.
Ce miracle n'en est plus un, si on accepte que toute substance sans exception dans l'Univers est vivante ce qui lui confère soit une compétence qui manque au patient, soit une capacité à tirer vers son monde la cause de la maladie. Quand le médecin trouve la bonne substance, l'effet est rapide, doux et durable. En ceci, ce niveau de traitement influence sur les croyances du patient car il est forcé de constater que ça marche, malgré tout ce qu'il a pu lire comme bêtise. Ceci différencie le deuxième niveau du premier.
Quand on regarde l'image ci-contre, on comprend aisément que cette plante carnivore (Drosera rotundifolia) soit utile non seulement dans la coqueluche, mais aussi dans l'épidémie de Covid ! Car comme pour l'homme, toute substance montre une cohérence entre forme et fonction, forme et compétence.
Le troisième niveau de traitement permet au médecin de dépasser matière et forme. Il se tourne vers une origine évidente de toute maladie, le manque de cohérence entre les différents corps physique, psychique, énergétique, relationnel, ...
Cette rupture dans la continuité de l'élan vital apparait actuellement comme une fatalité programmée, mais n'en est pas une! Nous reproduisons simplement un vieux schéma culturel ayant remplacé les lois de la vie que, seule, l'oralité savait transmettre de génération en génération.
Nous avons perdu le don de transformer tout évènement de notre vie en élément essentiel sans lequel nous ne serions pas ce que nous sommes, en sachant que cette démarche nécessite une acceptation totale de ce que nous sommes ici et maintenant.
En faisant ceci, le médecin est dans son élément: il pratique son métier qui, étymologiquement, veut dire "Medi= Centre et cin = "sein" en allemand mais aussi "je suis" et "nous sommes". Il met le patient au centre de son propre univers, il devient la pierre angulaire, le pivot de l'ensemble.Pour y arriver, le médecin propose une lecture inédite de l'histoire du patient, plus poétique, plus cohérente, plus en accord avec les valeurs du patient.
Seul le quatrième niveau du traitement permettra d'éteindre le feu que la souffrance, révélée par la découverte de la cohérence des évènements tragiques de nos vies, a déclenchée.
Le médecin devient thérapeute (etymologiquement "assècher les écoulements, ici les larmes") simplement en reliant le monde intérieur avec le monde extérieur. Tout thérapeute sait transmettre cette évidence qui nous rend forts, résilients, cohérents.