Alerte sur un
triple évènement
lié à l’épidémie actuelle


La phase critique a commencé
il y a à peine quelques semaines

nous obligeant à nous réinventer !

 

Résumé

Je constate actuellement que nous sommes entrés dans la deuxième phase de l’épidémie, celle que je considèrais dans mon livre comme plus dangereuse et en même temps plus exigeante envers notre capacité de projeter des solutions inédites, de changer notre mode de vie. Elle révèle trois aspects inattendus:

  • Des manifestations de plus en plus extra-pulmonaires. Elles exigent une approche globale dépassant les capacités de la médecine moderne trop spécialisée. Elle ne peut donc pas être à la hauteur d’un virus qui touche tous les aspects de nos différents corps: physique, psychique, relationnel, énergétique, spirituel. Ce virus demande en effet une refonte de la Médecine, en bref une Médecine globale avec des praticiens connaissant toute la complexité de l’homme malade.
  • Une prévention que d'autres et moi-même ont déjà mise en place. Elle doit relever un défi audacieux : être simple, naturelle et efficace sans support sophistiqué.
  • L’homme comme élément central pour expliquer les formes graves de la maladie et non l’aggressivité du virus.

again

Il y a de plus en plus
de rapports scientifiques sur une re-occurence
du Covid-19 après un premier épisode:

Je cite comme exemple une publication milanaise de 2021, portant sur 1146 patients suivis après un premier épisode entre mars et juin 2020. Les auteurs concluent que 10% de ces patients, après avoir été déclarés cliniquement guéris, ont développé de nouveau un test PCR nasopharyngéal positif et que 23,2% de ces nouveaux cas positifs avaient de nouveau des symptomes cliniques, parfois sévères.

La question :

"Ré-infection ou ré-activation du virus"

(comme c’est le cas pour Herpès) reste actuellement ouverte et les différents auteurs n’y apportent pas une réponse claire et sans équivoque.

Ampoule

Ces dernières semaines, plusieurs de mes amis proches sont tombés malades, dont quatre gravement atteints, ce qui m’a confirmé la réalité de ces rechutes, dont parlaient les publications et que j’avais pressenties et décrites dans mon livre dès juin 2020.

Il s’agit pour moi
clairement de ré-activation du virus
attrapé l’année dernière, et non d’une ré-infection
avec un nouveau variant anglais ou
sud-africain ou autre.

La raison est simple: ces proches ont tous suivi mon protocole de prévention de Covid depuis près 1 an (que je propose depuis le 22 mars 2020). Ayant malgré tout attrapé le Covid (car de toute façon, 100% de l’humanité va l’attraper d’ici peu), ils n’ont développé qu’une forme légère du Covid-19 en 2020.

Mais le point
essentiel est le suivant:
à l’arrêt de leur traitement préventif,
quatre d’entre eux ont développé
une forme grave de Covid-19!

Gare à la lassitude !
Il ne faut pas baisser les bras!

forme grave

La forme grave concernait
un glaucome aigu à angle fermé,
une encéphalite avec dyslexie extrème,
une mono-névrite multiplex avec atteinte du nerf sciatique
et une atteinte gastro-intestinale accompagnée
de plus de 40ºC de température.

La vision, dans la première situation a, certes, été sauvée par des séances de laser, vu que la tension oculaire était montée à 40, mais les douleurs, elles, n’ont cessé qu’à la reprise du traitement préventif à haute dose, et ceci en deux heures!

Pareil dans la deuxième situation: seul le traitement préventif rétablissait rapidement les fonctions intellectuelles.

Ensuite le troisième cas dont la mononévrite avait déclenché depuis trois semaines une inflammation aigüe du nerf sciatique, sans amélioration par des traitements ostéopathiques, a vu une rapide amélioration de douleurs (24 heures) dès la reprise du traitement préventif à haute dose.

Le quatrième, "seulement" touché par plus de 40ºC et des douleurs abdominales intenses, a réagi de la même manière à la reprise du traitement.

guérison

La particularité
de ces quatre amis proches est
qu’ils suivent le même schéma:

  • Sous prise d’un traitement préventif une première forme légère du Covid
  • À l’arrêt de ce traitement une réapparition des symptomes plus graves
  • Une rapide et nette amélioration des douleurs dès la reprise du traitement préventif

Ce schéma exclut une ré-infection avec un nouveau variant du virus et parle en faveur de la ré-activation en fonction de la faiblesse de notre terrain (telle qu’on peut l’observer pour l’Herpès). C’est donc ce changement du terrain en fonction de mon traitement préventif ou non qui s'est révèlé être le facteur essentiel et déclencheur dans ces différentes situations que j’ai pu observer.

hängebrücke

Il reste pourtant
une remarque importante à faire.
Comme je l’avais signalé à plusieurs reprises,
les rapports entre un nouveau virus et son hôte,
ici en l’occurrence l’humanité,
passe par trois phases :

  • Une première où les deux acteurs sont encore mal-adaptés l’un à l’autre, ce qui empêche les virus de se déployer dans toute leur puissance.
  • Ensuite une deuxième phase où les virus, par des mutations internes (dans l’hôte-même) ou externe (dans la population) ont surmonté les défenses de l’hôte qui, lui, tout au contraire, montre des signes d’épuisement, souffre de l’impact de l’épidémie sur sa vie sociale, relationnelle, professionnelle, et s’est fragilisé par une angoisse existentielle évidente.
  • Une troisième phase de symbiose où les deux partenaires profiteront enfin mutuellement de la coexistence (voir mon livre), but recherché des deux côtés dès le début.

Nous nous trouvons actuellement dans la deuxième phase et ceci est bizarrement passé sous silence, négligé dans la prise de conscience collective. Autour de moi et dans les publications, je n’entends rien sur la mutation interne du virus et sur cette deuxième phase du rapport entre l’Homme et le virus.

Probablement, les nouveaux variants
ne sont pas plus dangereux que les premiers,
mais l’homme a baissé sa garde, épuisé
par une longue année de
vigilance permanente.