L'eau :
99% des molécules de notre corps !
L'Homéopathie et ses successeurs ont démontré l'interêt de la structurer
par des secousses vigoureuses.
J’ai tenu cette conférence en 1998. Elle montre que Samuel Hahnemann a introduit dès 1842 la notion de la phase liquide comme support de l’homéopathie, remplaçant les globules. Il décrit cette phase liquide dans les moindres détails dans son sixième Organon de l’Art de Guérir et démontre comment faire pour récupérer et augmenter, amplifier l‘action pharmaceutique des substances brutes comme l’Arsenic en les débarrassant en même temps des effets secondaires. Sa technique est loin d’être une goutte dans l’océan, mais consiste à faire suivre chaque étape de dilution d’une dynamisation par des secousses vigoureuses. Ce qui m’a impressionné dès la première lecture de cet ouvrage, était l’amplification d’un signal biologique par un moyen simple et toujours à notre disposition, les secousses vigoureuses. J’ai gardé cette conférence pour mon site car dans l’histoire de la médecine, Hahnemann était le premier à saisir l’importance de l’eau comme porteur d’information curative en permettant à l’eau de retrouver son état originel, vivant, dynamique, efficace et agissant. Ceci fait dire à Hahnemann que l’homéopathie est un art de guérir simple et constante dans ses prémisses et ses techniques (« Hienach ist die Homöopathik eine ganz einfache, sich stets in ihren Grundsätzen so wie in ihrem Verfahren gleichbleibende Heilkunst. »). D’autres chercheur après lui, pas nécessairement au courant des travaux de Hahnemann comme Philippe Bunau-Varilla ont confirmé que la dilution devait se situer autour de 1/100ème pour pouvoir transmettre l’information et que les secousses vigoureuses manuelles pouvaient être remplacer par une pompe centrifuge sous condition de la placer immédiatement derrière l’endroit d’injection soit de la substance brute à 1/100ème de sa dose toxique, soit de l’eau structurée par la dynamisation précédente.